Les Konkasseurs de Kakao
Jean-Marie Sirgue : comédien
Serge Rigolet : accordéoniste (improvisation)
Mise en scène : J-M Sirgue
Production : théâtre de la Fronde avec le soutien de la commune de Chédigny
Samedi 30 mars 2024 à 20h00
Dimanche 31 mars à 16h00
La Grange
2, rue Oger-le-Danois
60800 TRUMILLY
Durée : 1h15
entrée : 15,00 €
Réservation indispensable
pour le samedi 30 mars, c’est Ici
pour le dimanche 31 mars, c’est Là
ou par téléphone 06 74 49 38 80
Résumé :
Comme son nom l’indique, voilà un spectacle qui n’a aucun sens (ne pas chercher de concasseur et encore moins de cacao). Aucun sens ! Aucune logique, aucun fil conducteur ! Pas de thème, de transition, ni de message…
Pas de décor, non plus (ou si peu) ni de technique (à peine quelques projos). Reste l’essentiel : le partage des mots, des notes, de l’humour et de l’émotion… Eprouver ensemble le plaisir de musarder d’un texte à l’autre, de Hugo à Bedos, de Pennac à Desproges, Maupassant, Renaude, Prévert… Et d’y mêler les compositions « Piazzolesques » de Serge Rigolet à l’accordéon.
Comme son nom l’indique, voilà un spectacle qui n’a aucun sens (ne pas chercher de concasseur et encore moins de cacao). Aucun sens ! Aucune logique, aucun fil conducteur ! Pas de thème, de transition, ni de message…
Pas de décor, non plus (ou si peu) ni de technique (à peine quelques projos). Reste l’essentiel : le partage des mots, des notes, de l’humour et de l’émotion… Eprouver ensemble le plaisir de musarder d’un texte à l’autre, de Hugo à Bedos, de Pennac à Desproges, Maupassant, Renaude, Prévert… Et d’y mêler les compositions « Piazzolesques » de Serge Rigolet à l’accordéon.
Serge Rigolet
Homme d’engagements (dans la presse, le syndicalisme, la radio, la musique, le spectacle), Serge Rigolet bâti la Grange-théâtre de Vaugarni, lieu de résidence, de création et de diffusion de spectacles. Lui-même rejoint de multiples équipes artistiques et produit ses propres créations : « Mots soufflés et boutons de nacres » et, en préparation, « Pour qui sont serpents qui sifflent sur nos têtes ».
Jean-Marie Sirgue, comédien, metteur en scène
Inlassable animateur du Théâtre de la Fronde, Jean-Marie Sirgue obtient le Prix Oulmont de la Fondation de France pour « Rhinocéros » de Eugène Ionesco qu’il joue un peu partout dans le monde. Il est un des interprètes de « La Leçon » au théâtre de la Huchette à Paris. Il conjugue aventures théâtrales et cinématographiques. Il est l’auteur/metteur en scène de « Capitaine Le Jan » paru aux éditions l’Harmattan ainsi que de « L’oiseau qui pète ».
Inlassable animateur du Théâtre de la Fronde, Jean-Marie Sirgue obtient le Prix Oulmont de la Fondation de France pour « Rhinocéros » de Eugène Ionesco qu’il joue un peu partout dans le monde. Il est un des interprètes de « La Leçon » au théâtre de la Huchette à Paris. Il conjugue aventures théâtrales et cinématographiques. Il est l’auteur/metteur en scène de « Capitaine Le Jan » paru aux éditions l’Harmattan ainsi que de « L’oiseau qui pète ».
Dans la presse
Les petites histoires font les grands spectacles…
Une poignée de nouvelles, un accordéon et un conteur de merveilles. Pas besoin de plus pour offrir, tel un bouquet de mots, une soirée pétillante. Un moment suspendu dans le temps, fort agréable en cette fin de festival.
Une chaise pliante et un banc de square. La scénographie est des plus épurée. Mais de cette économie de décor naîtront tous les espaces, toutes les époques. Et tous les univers. D’un ogre moscovite amoureux d’une fée à un pêcheur bègue, en passant par un évêque éméché ou autre salarié d’une quelconque zone industrielle. Ce sont ainsi les univers de Prévert, Maupassant, Desproges, Hugo, Nougaro, Pennac, Bedos et Renaude qui nous sont racontés. Un peu à la manière d’un patchwork littéraire dans lequel l’humour a une place de choix. Même si l’émotion s’y décline aussi sur un ton parfois plus tendre. Sur scène, deux comparses. Serge Rigolet et Jean-Marie Sigure. L’un à l’accordéon, qui rythmera la soirée, lui donnant une résonnance tour à tour joyeuse ou passionnée. L’autre à la verve haute. Sans ostentation, mais avec une aisance de maître. Et à eux deux, ils racontent des histoires. Simplement. N’oubliant pas le détail mais jamais au détriment de la retenue.
C’est ainsi une heure dix de bonheur simple que la compagnie Théâtre de la Fronde offre à son public. Une mise en mots qui captive le public, suspendu aux lèvres du comédien. Une mise en notes qui enivre et emporte les mots qui viennent d’être dits plus loin encore. Allez messieurs, s’il vous plait… Racontez nous encore une histoire !
Karine PROST, 31 juillet 2009, Rue du théâtre, Avignon Off
Une poignée de nouvelles, un accordéon et un conteur de merveilles. Pas besoin de plus pour offrir, tel un bouquet de mots, une soirée pétillante. Un moment suspendu dans le temps, fort agréable en cette fin de festival.
Une chaise pliante et un banc de square. La scénographie est des plus épurée. Mais de cette économie de décor naîtront tous les espaces, toutes les époques. Et tous les univers. D’un ogre moscovite amoureux d’une fée à un pêcheur bègue, en passant par un évêque éméché ou autre salarié d’une quelconque zone industrielle. Ce sont ainsi les univers de Prévert, Maupassant, Desproges, Hugo, Nougaro, Pennac, Bedos et Renaude qui nous sont racontés. Un peu à la manière d’un patchwork littéraire dans lequel l’humour a une place de choix. Même si l’émotion s’y décline aussi sur un ton parfois plus tendre. Sur scène, deux comparses. Serge Rigolet et Jean-Marie Sigure. L’un à l’accordéon, qui rythmera la soirée, lui donnant une résonnance tour à tour joyeuse ou passionnée. L’autre à la verve haute. Sans ostentation, mais avec une aisance de maître. Et à eux deux, ils racontent des histoires. Simplement. N’oubliant pas le détail mais jamais au détriment de la retenue.
C’est ainsi une heure dix de bonheur simple que la compagnie Théâtre de la Fronde offre à son public. Une mise en mots qui captive le public, suspendu aux lèvres du comédien. Une mise en notes qui enivre et emporte les mots qui viennent d’être dits plus loin encore. Allez messieurs, s’il vous plait… Racontez nous encore une histoire !
Karine PROST, 31 juillet 2009, Rue du théâtre, Avignon Off
« Sur un air d’accordéon, on prend place autour d’une table de la petite salle des Trois Pilats. Jean-Marie Sirgue concocte une sélection de textes drôles, coquins, poétiques, émouvants, tout simplement beaux, pour un hommage au verbe et au plaisir de la langue.
Ses déclamations sont ponctuées par Serge Rigolet à l’accordéon, qui esquisse un dé- cor musical sur des airs de tango ou de mélodies festives.
On découvre ou redécouvre avec plaisir quelques joyaux de la littérature française : morales des fables de La Fontaine, textes pimentés de Claude Nougaro, poésie des nou- velles de Maupassant ou Hugo, sketchs de Desproges ou Bedos… On se laisse captiver par la verve et hypnotiser par les grands yeux noirs du conteur, bercé par l’accordéon.
Comme dans une bulle hors du temps, on s’évade pour une ,heure et quart d’émerveille- ment littéraire et musical. Les Konkasseurs de Kakao, un hymne aux plaisirs du texte, on en redemande. »
Maud Garmy Radio France Vaucluse
Ses déclamations sont ponctuées par Serge Rigolet à l’accordéon, qui esquisse un dé- cor musical sur des airs de tango ou de mélodies festives.
On découvre ou redécouvre avec plaisir quelques joyaux de la littérature française : morales des fables de La Fontaine, textes pimentés de Claude Nougaro, poésie des nou- velles de Maupassant ou Hugo, sketchs de Desproges ou Bedos… On se laisse captiver par la verve et hypnotiser par les grands yeux noirs du conteur, bercé par l’accordéon.
Comme dans une bulle hors du temps, on s’évade pour une ,heure et quart d’émerveille- ment littéraire et musical. Les Konkasseurs de Kakao, un hymne aux plaisirs du texte, on en redemande. »
Maud Garmy Radio France Vaucluse